MENTON : MUNICIPALES 2014

Notre ville, fossilisée, a besoin de changement.

Tel que cela est parti , il n'aura pas lieu !

- Les élections municipales 2014 font déjà l'objet de stratégies boutiquières et partisanes qui assureront la réélection d'un système usé : le petit monde merveilleux de M. et Mme GUIBAL qui concentrent abusivement les mandats électifs et considèrent que la ville leur appartient un peu comme si la Mairie était une SARL familiale.

Depuis 1989, le même constat accablant: une suffocante gestion autoritaire, ne rencontrant aucune véritable opposition élue, s'est insidieusement installée. C'est une forme de « totalitarisme soft ».

- En 2008, après avoir rendu ma carte à l'UMP, j'ai organisé avec des habitants plus que courageux une liste de rassemblement républicain qui a réussi l'exploit en quelques semaines et sans aucun moyen de rendre aux Mentonnais l'essentiel : la libre parole. Si depuis l'étau s'est desserré, la gestion municipale a atteint sa « phase terminale ».

J'ai refusé de siéger de manière minoritaire, et donc totalement stérile . Je n'aurai pu développer qu'une opposition inefficace. J'aurai de toute manière compte tenu des méthodes systématiquement utilisées, démissionné de mon mandat. Se faire élire pour démissionner ? Inacceptable à l'endroit des électeurs.

- J'ai rejoins Nicolas DUPONT-AIGNAN et avons, en Novembre 2008, fondé le parti « Debout La République » le seul parti souverainiste composé de patriotes républicains, désintéressés et qui ne prennent pas d'ordre auprès d'une Droite ou d'une Gauche totalement dépassées et elles aussi soucieuses de leurs seules survies, tout ceci dans un cadre Européen qui n'amène que ruine , asservissement et bientôt soupe populaire pour tous.

- La responsabilité de la situation (nationale ou locale) repose exclusivement sur nos élus qui ont plus que fait la démonstration tragique de leur manque de lucidité, de volonté politique et de courage, se réfugiant derrière une pensée unique au service de la finance : celle de la mondialisation qu'ils vénèrent sans en avoir mesurer les conséquences dans le quotidien de leurs administrés.

- Dans la perspective des municipales, crispés sur leurs positions, les uns et les autres échafaudent des plans, répétant les mêmes erreurs déjà commises sur Menton pour une élection locale : une liste de gauche, une liste extrême droite, une liste sortante (la petite oligarchie de M. GUIBAL) et enfin une liste centre droit - gauche, qui tiendra le rôle d'aspirateur de voix pour le second tour (au profit de qui?). Tout pour faire réélire l'équipe en place !

A ce constat s'ajoute un schéma prévisible : un second tour avec droite, centre et gauche réunies sous le prétexte d'un faux rassemblement républicain contre d'autres adversaires en brandissant de grands principes.

- Une fois de plus, rien ne se met réellement en place pour Menton et ses habitants. Menton n'est plus « une ville de vieux ». C'est une ville conçue pour la retraite et le « biotope » de ses élus. C'est une ville morte.

Thierry GIORGIO

Délégué National à la Justice rendue au nom du Peuple Français

Debout la République